Au chômage ? Et si vous pensiez à la création d’entreprise ?
Études supérieures terminées, diplôme obtenu, c’est à ce stade que les jeunes se frottent la tête. Désormais, ils doivent prendre en main leur avenir. Pourtant, les chiffres dévoilés par l’Insee au premier trimestre de 2016 ont de quoi leur faire peur. En effet, près des 10% de la population en France est au chômage, et les jeunes sont les plus touchés… Heureusement que l’aide à la création d’entreprise pour chômeur existe.
Ne baissez pas les bras face au chômage !
Ceux qui veulent mettre fin à ce fléau décident de prendre le risque de se lancer dans une aventure entrepreneuriale. La plupart d’entre eux ont leur propre projet en tête mais hésitent à le réaliser.
Concentrez-vous sur votre projet. Une étude bien approfondie va définir le futur de votre entreprise.
Faites le bon choix entre entreprise de vente de produits et société prestataire de services. Étudiez bien le marché, les concurrents, les moyens techniques, financiers et humains dont vous disposez. Soyez prudent quand vous montez un projet de création d’entreprise. Faites-en le bon choix et surtout prenez la peine de bien analyser les décisions à prendre dans la mise en œuvre de votre projet.
Les étapes :
La première étape à ne pas sous-estimer pour créer une entreprise est le choix du statut. L’entreprise individuelle est la forme la plus choisie par les chômeurs créateurs d’entreprise. Plus souple, cette forme juridique n’exige aucun engagement social. Ni de formation d’associés. Vous êtes le seul actionnaire de votre entreprise. Autrement dit, vous êtes responsable de vous-même, de votre action et de l’avenir de votre future entreprise. À moins que vous ne préfériez avoir d’autres associés. Dans ce cas, la société dite à responsabilité limitée vous conviendra. Elle est imposée de taxes et d’impôts. En tout cas, vous avez le choix entre différentes formes juridiques auprès desquelles l’État ou les collectivités décentralisées interviennent pour moins exposer les jeunes créateurs d’entreprises aux risques de faillite. La zone franche, qui fait parti formes juridiques les plus encouragées, profite par exemple du dédouanement.
Confiez vos projets à un ou des professionnels !
Actuellement, les créateurs d’entreprises peuvent être indemnisés à la moitié voire la totalité de leur investissement s’ils correspondent au profil des promoteurs de la création d’emplois. À l’instar des pays européens, et particulièrement la France métropolitaine, dans les départements d’outre-mer (DOM), dans les collectivités d’outre-mer (COM), une convention d’assurance chômage est mise en place pour motiver les chômeurs à créer leur propre entreprise. Autre alternative : le financement à la création d’entreprise par les créditeurs, les banques, les organismes non gouvernementaux qui accompagnent les jeunes dans la réalisation de leurs projets.
Faites du peu avec de rien, faites beaucoup avec du peu !
Lancez-vous, profitez de toutes ces opportunités qui peuvent être un facteur de développement de votre entreprise. Assurez-vous qu’en cas de fermeture de votre entreprise, vous pouvez aussi bénéficier des indemnités pendant plusieurs années, le temps que vous trouverez un nouvel emploi ou d’autres projets à réaliser. Certes, vous allez faire beaucoup d’investissements, et ainsi dépenser beaucoup d’argent, de la phase d’étude préalable à la création d’entreprise. Une fois votre activité démarrée, vous pouvez garantir votre investisseur par des cautions, des hypothèques pour qu’ils ne doutent rien à vos actions à venir.
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